Elles étaient déchirantes, ces scènes du procès de l’hormone de croissance… Les familles inconsolables de ces 118 morts, la colère, la haine – un sentiment si proche de l’amour qu’il se confond parfois avec lui… - de parents pour qui « justice n’avait pas été rendue » !
Comme j’ai peut-être sans le savoir, été un acteur de ces tragédies, je dois y apporter mon modeste témoignage…